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mardi 27 avril 2010

DIS-MOI, ANNA (impro guitare)



Il existe à mon répertoire une chanson paillarde qui porte ce titre ; elle appartient au répertoire  des classiques de ce genre de chanson. Je l'ai réharmonisée, réarrangée. Je la chante en ajoutant un couplet de mon crû comme pour toutes celles que j'ai reprises dans cette série. Mais la chanson, je ne vous la proposerais pas ; sauf si quelque visiteur intéressé me la demandait expressément.
Par contre, j'ai trouvé que la bande son que j'avais confectionnée pour accompagner ma voix me permettait aussi de m'exprimer (forme blues) à la guitare. C'est ce que je vous propose ici, une improvisation à la guitare sur la bande-son accompagnement de la chanson.
Le dessin coloré qui accompagne ce morceau, je l'ai nommé CHAMPIGNONS HALLUCINOGENES.

4 commentaires:

  1. Whaouuu ! Bravo, tout simplement : une mélodie qui qui émoustille la langue et le corps tout entier... ça transpire la passion avec un grand P !

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  2. Oh! tu ne pouvais pas mieux dire! La passion, oui. Une passion de 43 ans faite de complicité, de compréhension, de bruit, de murmures, d'offrandes et que sais-je encore?

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  3. Une passion qui dure, ça c'est de l'amour !

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  4. Je me demande moi-même souvent pourquoi cela a-t-il duré avec toutes les tempêtes de toutes sortes que nous avons essuyées! Sans doute que dès le départ il y avait entre nous une connivence. Il faut dire aussi que les enfants et les petits-enfants sont venus faire comme un liant entre nous. La nature de notre amour n'a pas cessé d'évoluer en 43 ans. C'est toute une histoire qui a été évolutive et c'est certainement parce que nous avons accepté l'autre tel qu'il était, tel qu'il évoluait que ça a tenu. Ce qui a primé en nous, c'est qu'on reste avec l'autre, qu'il reste notre ancrage, notre référent. La dimension socio-économique n'y a pas été pour rien non plus.
    Il faudrait écrire un roman pour tout dire. Mais je suis déjà en train d'en écrire un autre. Un autre? Oui, en partie et avec des variantes par rapport à ce que nous avons vécu. Et puis, ce roman, s'il est publié, le sera sous la couverture d'un pseudonyme.

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