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jeudi 11 février 2010

INDIFFERENCE



Nostalgie au souvenir des fastes anciens, des godrioles éméchées et des baises somptueuses
Nostalgie aujourd'hui devant l'indifférence qui laisse sur le ressac du pavé un noyé égaré,
un tragique fantôme, un rabougri sclérosé.

4 commentaires:

  1. tu jongles mon ami
    comme j'aime venir ici

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  2. Je crois que cette mélodie est celle que je préfère de ton répertoire entendu ici. Nul doute, c'est celle que je préfère !

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  3. Lilia, merci. Mais si tu aimes venir ici, j'aime aller chez toi. Ce matin j'ai découvert un texte que je n'attendais pas. Quelle grandeur d'âme il faut pour écrire ce que tu écris.

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  4. Suzy, merci à toi aussi. J'ai rarement de commentaires sur ma musique et mes chansons. Tu en as déjà fait, je sais. Mais celle-ci a l'air d'avoir ton agrément. J'ai confectionné une bande son un peu différente de celles que j'utilise habituellement et je me suis mis à improviser à la guitare. Si un passage ne me satisfait pas, j'efface et je recommence. Mais jamais de la même façon, j'en serais incapable. Il faut que je me promène sur des chemins toujours nouveau et c'est, à chaque fois, une histoire nouvelle que je raconte. Voilà comment j'ai travaillé pour INDIFFERENCE.D'ailleurs le titre est peut-être venu après le morceau : à l'écouter, j'ai dû penser ce jour-là que l'on me marquait trop d'indifférence précisément.
    Merci.

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