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dimanche 20 janvier 2013

COMPLICES 1° de couverture

Pour aujourd'hui, vous aurez la première de couverture de mon dernier roman intitulé COMPLICES. C'est un real polar, c'est-à-dire un roman policier dans lequel on assiste en direct aux meurtres en temps réel. Roman policier, si l'on veut car, la police n'y a que peu de place. Elle est évoquée, uniquement parce que souvent elle est appelée pour constater la mort par "suicide" ou par accident. Le reste du temps la mort est seulement constatée par un médecin qui accorde le permis d'inhumer. Ah, oui! Dans une seule circonstance une enquête sera menée par la gendarmerie et le dossier d'ailleurs restera ouvert. Mais je ne relate pas dans le détail  les interrogatoires. Je passe vite là-dessus comme si je ne voulais pas mêler la police à des crimes dont je préserverais l'intimité. Je situe mon roman dans une région dont je ne donnerais pas ici le nom. Mais c'est une région assez mystérieuse, particulière au point de vue géographique et qui grouille de secrets inviolés. Je voulais donc que mes victimes soient assassinées sans trop de bruit. Dans ce pays de chasses, les braconniers sont nombreux. Et les actions conduites par mes personnages ressemblent un peu à des traques, à des pièges illégaux. Ils restent dans l'ombre. On ne défraye pas la chronique avec des morts qui sont violentes certes, mais qui se font très vite oubliées.

La première de couverture d'aujourd'hui vous présente un titre, un sous-titre et le nom de l'auteur. Le fond est préparé avec des pétales de roses Sweetness, rose qui joue un rôle dans le roman. Je fais sécher les pétales de ces roses, puis j'en couvre la vitre de mon scanner. Je réalise ensuite des fichiers que j'imprime ou non. Pour cette couverture, les pétales étaient bien fanés. C'est pour cela qu'ils sont jaunissants, et même d'un brun auburn. Mais le rouge/rose qui orne irrégulièrement les pétales est tout de même encore visible.
Pendant que j'ai écrit ce roman, j'ai toujours eu une de ces roses Sweetness sur le bord de mon évier, à la cuisine. Chaque fois que je la renouvelais chez ma fleuriste, je lui disais qu'un nouveau meurtre venait d'avoir lieu dans mon livre. Elle s'est intéressée à mon travail. Sans doute est-elle bonne commerçante ... .

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