compteur

mardi 15 janvier 2013

À l'opéra de Nice

Ce soir, au milieu des intempéries touchant jusqu'à la Côte d'Azur, nous allons à l'Opera
L'Opera de Nice oû l'on donne Pelleas et Melisande de Claude Debussy. Nous serons loin de la guerre, celle que mène notre pays au Mali
Pour Noël, notre fille vivant à Grasse nous a offert deux places pour la première représentation
Je rapporterai peut-être demain, ici, quelques impressions! L'orchestre est celui de Nice
Le chef, je ne le connais pas, les chanteurs non plus. Qui sait? Je serai peut-étre surpris. Tant mieux et je vais en profiter car, le lendemain, il me faudra reprendre la route avec sans doute de la neige partout, partout. Mais pourquoi s'inquiéter avec quatre pneus neufs alpins de chez Michelin?
Ah! Tellement deçu de voir revenir les manuscrits refusés de SCHOOL FICTION et de COMPLICES par les grandes maisons d'éditions françaises, j'ai attrapé qui traînait chez moi HOME de Toni Morrison. Mon épouse venait de le terminer. Bien sûr, j'en ai pris un coup, un coup de vieux ou un coup tout simplement? Une sincérité, un naturel pour des histoires de femmes et d'hommes souffrant. Une humanité que l'on ne dit jamais noire mais que l'on sait avoir été maltraitée.

Je ne voulais plus écrire. Mais je vais en essayer encore un, comme elle si je peux. Elle m'a redonné confiance et surtout le désir de dire, de raconter les douleurs des hommes et des femmes. Les douleurs pour mieux s'extasier sur les joies lorsqu'il s'en trouve.

Je salue bien les promeneurs qui passent de temps à autre sur le Bd du DÉLIRE!



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire