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lundi 17 mai 2010

Panama (chanson folle)



Cette chanson complètement surréaliste est peut-être ma dernière participation au jeu des blogs. Je vais vous raconter après cela pourquoi. Vous aurez les paroles de la chanson, promis.

8 commentaires:

  1. Si c'était vraiment ta dernière participation, en suis désolée. Parce que, franchement, plus le temps s'écoule, mieux s'en porte ton talent.

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  2. Suzy, tu auras été la seule à suivre mes posts musicaux. Tu sais que j'ai été contrarié par la censure que YouTube m'a opposée pour ma chanson "Ah! Les têtons!". Une chanson coquine qui voulait combler une place vide dans la chanson française avec "Le con" de Brassens et "Le zizi" de Pierre Perret. Je complétais la trilogie. J'ai complété la trilogie de toute façon.
    Je vais quitter la scène, oui. Mais d'abord parce que je m'en vais en Corse pour trois mois d'ici deux à trois semaines. Là-bas, dans un village dans la montagne, je n'aurais pas l'ADSL. Je ne pourrais pas garnir mon blog. Au retour, en septembre, peut-être reprendrai-je mes publications.
    Tu parles très aimablement de mon talent qui s'améliore avec le temps. Mais tout ce que je poste a été écrit à diverses époque de ma vie. Et ce que tu entends ne suit pas une progression chronologique. J'ai beaucoup posté de morceaux que je pensais susceptibles de te plaire. Avec la tenue de ce blog, la confection de vidéos pour YouTube, je n'ai plus le temps d'écrire de nouveaux morceaux. Je ne poursuis que mon roman qui arrive à son terme et que je vais corriger, reprendre tranquillement à Valle d'Alésani, en Haute-Corse dans le village et la maison natale de mon épouse construite en 1751.
    Ce n'est peut-être qu'un au revoir ma sortie, cette fois-ci, et pas encore un adieu. Si j'agis ainsi, si je reviens, ce sera pour l'attention que tu portes à mon travail. Et puis, il faudra bien lorsque ton bébé sera né que je poste cette chanson que je t'avais promise et qui s'appelle "Quand mon bébé est roi".
    En fait, avec ce blog j'ai vécu un drame, le mien, celui de ma vie toujours très compliquée, faite de trop de révoltes et d'une faim avide de l'autre qui reste toujours, en partie, insatisfaite.
    Mais j'ai des moments merveilleux avec les autres : hier soir j'ai assisté à la représentation qu'ont donnée 250 enfants de la comédie musicale de Tim Burton, musique de Danny Elfman : "L'étrange Noël de Mr. Jack". Formidable de modernité! Absolument nouveau dans la composition. Et qui plus est, j'ai vu et entendu les enfants que l'on avez fait travailler comme des dingues pour parvenir à cette musique, celle d'aujourd'hui, au-delà de Ligeti, de Boulez et tant d'autres. J'ai été président pendant plusieurs années de cette Association des chorales des collèges de notre région. J'en ai vu des spectacles que les professeurs avaient montés. Mais ce soir, de l'orchestre aux élèves en passant par le chef (une femme que je connais du temps où j'excerçais) tout a été parfait et nouveau. Régénérée la musique!
    Les Présidents passent et les hommes poursuivent leur oeuvre. C'est parfait ainsi.

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  3. Quant à la voix, "à la Bécaud" dis-tu. Oui, j'adore ce mec-là, ce Monsieur 100 000 volts comme on l'appelait. Je suis un peu caméléon, comme toi lorsque tu écris un poème en éprouvant les sentiments de quelqu'un d'autre. Nous sommes multiples sitôt que l'on est attentif à l'autre, aux autres.

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  4. Georges,

    La frustration passée suite à une petite mésaventure sur Youtube, tu reviendras. Enfin, je l'espère. Ne trouves-tu pas que tu over-réagis ?
    Eh oui ! Tu as un peu du Monsieur 100 000 volts en toi...

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  5. Oh! Certes! J'ai beaucoup de Monsieur 100 000 volts! D'ailleurs, je suis obligé de prendre des béta-bloquants pour me calmer le coeur qui dysfonctionnait après de lourdes cures de chimiothérapie (deux cancers : le 1° colon - le 2° foie). Mais tout ça est loin maintenant, mais le coeur reste (heureusement!).
    J'ai eu un mail du fils d'un copain qui va me donner des indications pour ouvrir un blog sans censure, en toute liberté. Peut-être que de retour de Corse je "publierai" encore. On verra.
    Merci de me soutenir Suzy et de suivre de près mes aventures. C'est précieux de t'avoir.

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  6. Merci à toi de me suivre itou. ;)

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  7. itou.;)) Je copie pour ne pas me tromper. Et je mets deux parenthèses, ouhais!

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