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mercredi 6 mars 2013

Entre deux dessins


Dès le début du XX° siècle, la génétique est venue bousculer les idées que l’on se faisait jusqu’alors sur l’économie naturelle du monde vivant.
Les croyances ancrées par des siècles de religiosité fondée sur le Livre (la Bible) avaient fait croire à la fixité de ce monde, à son immutabilité, à sa pérennité.
Tous ces concepts ont volé en éclats, entraînant avec eux les théologies qui les avaient engendrés.
C’est heureux. L’Humanité peut enfin mieux se comprendre aujourd’hui en sachant d’où elle vient et où elle peut aller.
Sur ce dernier point, ontologiquement, elle sait que c’est vers un petit tas de cendres qu’elle se dirige. Phylogénétiquement, tout et possible, même sa disparition.

Il faudra attendre, pour savoir, que la prochaine glaciation ait lieu.

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