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dimanche 2 décembre 2012

J'écris un real-polar

J'écris actuellement ce que j'appelle un real-polar. C'est un nouveau type de roman policier dans lequel les péripéties sont présentées au lecteur en temps réel. Dans COMPLICES, titre de ce real-polar, seul l'organisateur des crimes est inconnu. Les criminels et les victimes sont au contraire à visage découvert tout au long du déroulement des évènements. On dévoile au lecteur leur être profond, leurs passions et leurs vices tout autant que leurs envies. Cela permet d'expliquer pourquoi ils passeront à l'acte, poussés à cela par l'être mystérieux qui met en scène chaque crime.


Ce qui décide chaque élément du pool d'assassins en puissance, c'est la méthode qui leur est proposée. Chaque futur criminel est tout d'abord contacté par le directeur d'une entreprise nommée COMPLICES. Celui-ci semble connaître les problèmes qui pèsent sur l'existence de ceux qu'il a choisis. Il leur propose de faire disparaître ces problèmes en faisant exécuter le meurtre qu'ils souhaitent commettre par quelqu'un avec lequel ils n'ont aucun lien. Ainsi, chacun échange son assassinat contre un autre. Cela permet à la personne à qui profite le crime de se trouver un alibi en bêton.

En quoi réside l'énigme dans ce polar? Elle se situe au niveau de la recherche de la personne du mystérieux directeur de l'entreprise dite COMPLICES lorsque que celui-ci commence à vouloir faire chanter ceux qu'il a manipulés. Autre inconnue : les personnes impliquées dans ce consortium exceptionnel vont-elles se reconnaître et se liguer contre le seul être qui présente un danger pour chacune d'entre elles?

2 commentaires:

  1. Bonsoir Georges ! Tout un programme ton futur "real polar" ! Belle idée que de construire un roman ou les multiples péripéties sont présentées au lecteur en temps réel . J'aimerais beaucoup le lire après avoir terminé "monter la vie à cru". Bon week end et bon travail d'écriture !

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  2. Mon cher Jerry, l'idée principale de ce real-polar c'est de faire échanger leurs meurtres par des personnes qui veulent se débarraser d'un gêneur. Les alibis, du coup, sont plus faciles à construire. M.X supprime qui importune Melle Z, et Melle Z assassine une personne haÏe par Mme K. Les actions criminelles sont ainsi croisées, la personne ayant intérêt au crime ayant toujours un alibi en béton.
    Mais pourquoi real-polar? Il faudra lire le livre lorsqu'il paraîtra pour savoir. (A suivre).

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