Après 20 pages extraites du recueil intitulé "LES ENFANTINES", j'ai ressenti le besoin d'interrompre cette publication commencée le 03 janvier 2012. S'il vous paraït intéressant de connaître la suite de ces textes, vous voudrez bien me le faire savoir.
Mais ce n'est pas tellement l'absence de commentaire qui me fait prendre cette décision. C'est qu'en fait des évènements plus importants que de vagues souvenirs d'enfance assaillent notre société. J'ai quelques scrupules à tranquillement dérouler mon passé alors que le feu est à la maison.
Je veux parler évidemment des problèmes que le système financier en délire fait naître dans notre civilisation.
Tout cela est assez bien présenté dans le n° de février 2012 de PHILOSOHIE MAGAZINE. Et je n'ai qu'un conseil, c'est de vous inciter à le lire. Vous aurez les clés pour comprendre -mais vous les détenez certainement déjà- comment la cupidité d'une poignée d'hommes ruine l'existence des peuples.
Le plus terrible est dans le fait que, comme toujours apprenti sorcier, l'homme (en l'occurrence les finauds de la finance) a lancé une mécanique qui s'emballe.
Vous aurez peur en lisant les textes du dossier que présente PHILOSOPHIE MAGAZINE. Mais nous pouvons nous ressaisir. Le gouffre vers lequel nous aspirent les financiers peut se refermer sur eux. Nous devons réagir pour sauver nos descendants.
Je vous souhaite du courage.
Georges
mercredi 25 janvier 2012
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