Il me restait du noir, de l'acrylique noire. On n'en fait plus rien lorsqu'elle est sèche. C'est la peinture de l'instant, quoiqu'on puise repasser couche sur couche. Qu'en faire? Deux feuilles de beau papier dessin traînaient par là. J'ai rapidement recouvert inégalement ces feuilles pour en faire un fond. J'ai laissé sécher. Puis, de nouveau voilà que j'avais du noir en trop au fond de la coupelle qui me sert de palette. J'ai ressorti ces feuilles-fond et je les ai recouvertes de traits tourmentés.
Voilà pourquoi vous avez maintenant "Pinède en feu" et " En forêt".
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