Dès le début du XX° siècle, la génétique est venue
bousculer les idées que l’on se faisait jusqu’alors sur l’économie naturelle du
monde vivant.
Les croyances ancrées par des siècles de religiosité
fondée sur le Livre (la Bible) avaient fait croire à la fixité de ce monde, à
son immutabilité, à sa pérennité.
Tous ces concepts ont volé en éclats, entraînant avec eux
les théologies qui les avaient engendrés.
C’est heureux. L’Humanité peut enfin mieux se comprendre
aujourd’hui en sachant d’où elle vient et où elle peut aller.
Sur ce dernier point, ontologiquement, elle sait que
c’est vers un petit tas de cendres qu’elle se dirige. Phylogénétiquement, tout
et possible, même sa disparition.
Il faudra attendre, pour savoir, que la prochaine
glaciation ait lieu.
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