Ce matin, pour exprimer la grande joie qui m'étreint, je vous présente un travail mené en commun entre mon petit-fils Nicolas et moi. Il devait avoir trois ans et nous peignions ensemble sur la même feuille. Compagnonnage bien loin du modèle et bien plus incitateur que si j'avais voulu lui apprendre quelque chose car, je me lovais dans sa démarche, je l'épousais sans vouloir l'infléchir.
Et pourquoi grande joie? Parce que, grâce à une amie qui vient d'écrire une biographie sur Maria Borrély, écrivain de Haute-Provence et amie de Giono, je vais faire la connaissance d'un éditeur, Jean Darot, qui vit lui aussi dans notre région provençale. Et d'emblée, cet homme qui ne me connait qu'à travers ce que Google veut bien dire de moi, cet homme m'invite dans l'émission qu'il présente deux fois par mois sur Fréquence Mistral, une radio locale bien utile lorsqu'on souhaite se lessiver la tête des radios nationales.
Donc, une interview ou, un interview, comme vous voulez. Une interview d'une demie heure. Une demie heure pendant laquelle nous allons parler de ces grands espoirs que je porte à bouts de bras et que je vais lui remettre. Toutes sortes de textes, toutes sortes de folies qui pourraient bien sortir de mes tiroirs. Voilà pourquoi cette grande joie à laquelle je fais participer Nicolas. Un grand feu est allumé dans mon coeur.
"Une grande joie !" oeuvre de Nicolas Reysset et de son grand-père Georges Lautier
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