"J'ai vécu des instants qui me donnaient l'âme folle
d'un bouquetin dru.
J'ai vécu des minutes où la toile banale devenait
drap de joie.
Je vivais des heures où je coulais et me lovais
dans la rivière douce d'un sein.
Aussi, je tissais, au canevas de ton visage,
les secondes brèves de ce qui devenait éternité."
J'ai retrouvé ce poème d'antan écrit, à l'époque de sa rédaction, au présent.
Décemment, je ne pouvais vous l'adresser ainsi.
Je l'ai donc traduit au passé.
Croyez que je le regrette bien!
vendredi 4 novembre 2011
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Bonsoir Georges !! Oh!! délicieux poème que tu as retrouvé dans tes tiroirs magiques ! j'aime beaucoup cette phrase "je me lovais
RépondreSupprimerdans la rivière douce d'un sein " très inspirant en effet ! belle soirée !
Merci Jerry!
RépondreSupprimerC'est bon des gens qui passent et qui laissent un mot!
Amicalement!