compteur

vendredi 14 mai 2010

L'enfant soldat (paroles)

Pour lire plus aisément le texte, faites click gauche dessus.
Pour revenir au blog : click gauche sur la flèche blanche dans le rond bleu en haut de la page à gauche.
Publié par à
Libellés :

6 commentaires:

  1. Lilia15 mai 2010 à 04:29

    j'ai adoré
    comme c bien dit et surtout vrai
    merci

    RépondreSupprimer
  2. georges15 mai 2010 à 08:07

    Dommage, Lilia que tu n'aies pas pu écouter ce texte chanté avec sa musique. Pour quelles raisons ne pouvez-vous pas recevoir YouTube en Tunisie?
    Merci.

    RépondreSupprimer
  3. Lilia15 mai 2010 à 09:15

    je ne sais si c interdit mais en tout cas je ne l'ai pas
    oui c dommage

    RépondreSupprimer
  4. georges15 mai 2010 à 09:55

    Dommage, mais nous nous comprenons malgré tout.
    Ne t'inquiète pas. Je t'aime, même sans YouTube, Lilia!

    RépondreSupprimer
  5. Lilia15 mai 2010 à 12:37

    merci tendre ami
    je t'aime beaucoup aussi
    comme un frère
    comme un aîné
    comme un ami qui me comprend des fois sans même avoir besoin de parler
    ici chez moi les interdits sont à l'image de notre culture profonde et superficielle simple et compliquée dure et facile
    intriquée de dits et non dits mais on ne choisit pas c la vie et c'est tellement mieux comme ça

    RépondreSupprimer
  6. georges15 mai 2010 à 22:26

    Tu as la sagesse antique, Lilia. Aujourd'hui encore je te comprends sans même que tu aies besoin de parler plus. Tu m'apprends beaucoup, tu m'apprends cette humilité dont tu fais preuve devant les déterminismes sociaux, historiques, religieux, etc. Au révolutionnaire endémique français que je suis tu apprends par ta culture professionnelle qu'il existe d'autres contraintes que celles que fait peser sur nous notre être physiologique.
    J'ai beaucoup de respect pour toi et,en plus, mon affection me conduit à te remercier de me rappeler notre petitesse devant la vie. L'orgueil, seulement l'orgueil nous conduit à la révolte. Quelquefois aussi la faim, la faim de pain comme la faim d'amour.
    Je t'embrasse comme une soeur précieuse à mon être.

    RépondreSupprimer

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)