Tristounet, certes. Mais là tu utilises un mot provençal, non? Ici, c'est un peu comme avec mes désespérances : je me sens souvent étranger, mal dans mes pompes avec les autres. Souvent j'ai dû rompre des relations avec des groupes qui faisait de moi leur gourou ; c'est pratique de se reposer sur quelqu'un. Alors je m'envolais, je partais préférant redevenir étranger que maître à penser. J'erre maintenant de blog en blog (surtout sur le tien). Il n'y a que dans le roman que j'écris que je suis chez moi. Merci c'est quand même bien de savoir que tu as aimé ce piano solo : je l'ai posté pour toi, sachant que tu aimes cet instrument. Bientôt l'harmonica, d'accord?
très nostalgique, tristounet, suave aussi. J'ai quand même beaucoup aimé.
RépondreSupprimerTristounet, certes. Mais là tu utilises un mot provençal, non? Ici, c'est un peu comme avec mes désespérances : je me sens souvent étranger, mal dans mes pompes avec les autres. Souvent j'ai dû rompre des relations avec des groupes qui faisait de moi leur gourou ; c'est pratique de se reposer sur quelqu'un. Alors je m'envolais, je partais préférant redevenir étranger que maître à penser.
RépondreSupprimerJ'erre maintenant de blog en blog (surtout sur le tien). Il n'y a que dans le roman que j'écris que je suis chez moi.
Merci c'est quand même bien de savoir que tu as aimé ce piano solo : je l'ai posté pour toi, sachant que tu aimes cet instrument. Bientôt l'harmonica, d'accord?